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Nikita Jevpalovs : « Nous sommes prêts ! »
07 mars 2024
Nikita Jevpalovs : « Nous sommes prêts ! »
A l’heure d’attaquer les quarts de finale à Mériadeck ce vendredi face à Marseille, Nikita Jevpalovs l’assure : « nous sommes prêts ! »
Vous avez terminé la saison régulière en 4ème position. Quel sentiment en retires-tu ?
Nikita Jevpalovs : « C’était notre objectif ! Nous l’avons donc pris comme quelque chose que nous étions censés atteindre, mais nous avons travaillé dur pour y parvenir et jusqu’à la fin. C’est bien d’y être parvenu mais je pense que nous pouvons faire plus que simplement terminer quatrièmes de la saison régulière. »
Ce vendredi vous attaquez les quarts de finale contre Marseille. Que penses-tu de cette équipe ?
« Evidemment, c’est une bonne équipe. Ils ont terminé juste après nous. C’est l’une des meilleures défenses de la Ligue mais nous avons les moyens de les battre. Ça va être une bataille intense et des matchs excitants à jouer ! »
Devez-vous jouer votre jeu ou vous adapter aux caractéristiques de cette équipe ?
« Je crois fermement que nous devrions toujours rester qui nous sommes et jouer avec notre identité. Nous allons réussir en étant nous-mêmes ! »
Vous jouez les deux premiers matchs à domicile. Deux matchs à absolument gagner…
« Cela n’a pas vraiment d’importance. A domicile ou à l’extérieur, chaque match est important. En playoffs, ce sont parfois les victoires chez l’adversaire qui font la différence même si, bien sûr, vous êtes boostés par les fans à la maison. Il ne faut pas tout miser sur les matchs à domicile. »
Justement vous aurez le soutien de votre public…
« Oui. Cette année, le soutien de nos fans a été fou ! C’est vraiment agréable de jouer dans une telle ambiance. »
Votre objectif dans ces playoffs ?
« Notre objectif est de gagner les matchs les uns après les autres, à commencer par ceux de ce week-end. Il faut y aller étape par étape et après, on verra comment ça se passe. »
L’équipe est prête ?
« Oui, nous sommes prêts pour livrer cette bataille. Et impatients que ça démarre. »
Recueilli par Claude Canellas